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Full meaning Union africaine Communauté des États sahélo-sahariens Marché commun de l'Afrique orientale et australe Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest Les investissements directs étrangers Produit intérieur brut Tarifs par tranches Fonds monétaire international Petits producteurs d'énergie indépendants Kilowatt Kilowatt heure Gaz de pétrole liquide Megawatt Pay as you go Contrat d'achat d'électricité Partenariats public-privé Standard and Poors Global Ratings Afrique subsaharienne Transmission et distribution Time of use Union économique et monétaire ouest-africaine United Nations Industrial Development Organization Taxe Sur La Valeur Ajoutee Indicateurs réglementaires de la Banque mondiale pour l'énergie durable Un système d'énergie distribué qui produit de l'électricité à partir d'une ou plusieurs sources d'énergie et qui la distribue aux clients finaux, généralement par l'intermédiaire d'un réseau à basse tension. Les mini-réseaux peuvent être isolés ou interconnectés avec le réseau principal. Dans les mémoires sur les pays, un petit IPP (Independent Power Producer) est défini comme tout système relié au réseau électrique de moins de 10 MW fonctionnant selon un contrat d'achat d'électricité (PPA), dans le but exclusif d'alimenter le réseau en énergie (pas d'autoconsommation). Les systèmes solaires domestiques (SHS) sont des produits solaires hors réseau avec des capacités de pointe généralement entre 11Wp et 350 Wp, alimentant les lumières et autres petits appareils à courant continu tels que les ventilateurs et les téléviseurs. Ils comprennent le stockage de la batterie pour l'approvisionnement en électricité en dehors des périodes de production. Les systèmes solaires Pico sont typiquement inférieurs à 11Wp, offrant des services énergétiques de base tels que l'éclairage et la recharge des téléphones portables. Les systèmes d'alimentation électrique captive sont définis comme étant des systèmes "derrière le compteur" dont l'objectif principal est la propre consommation. Ces systèmes peuvent être hors réseau ou raccordés au réseau. Aux fins des Country Briefs, cela comprend les cuisinières propres, les cuisinières améliorées, le biogaz et les systèmes de cuisson au gaz de pétrole liquéfié (GPL).

Petits producteurs d'énergie indépendants

Aperçu
La participation de l'IPP au Burundi a commencé avec la loi de 2015 sur la réorganisation du secteur de l'électricité, qui permet la production privée d'électricité soumise à différents régimes (déclaration, autorisation, concession et PPP). Suite à la promulgation de cette loi, le gouvernement a signé un contrat de PPP avec Gigawatt Global pour la centrale solaire de Mubuga d'une puissance de 7,5 MW. Le développement du projet a commencé en 2015 et la mise en service était prévue pour 2018, mais les progrès ont été retardés par la crise politique de 2015. La construction a commencé en janvier 2020. Des contrats ont également été signés avec un consortium composé de Tauber Solar et Sarako pour les projets photovoltaïques Gitega de 10 MW et Bubanza de 10 MW, mais on sait peu de choses sur leur progression. Le gouvernement a également conclu des accords de PPP avec des IPP plus importants, par exemple, Swedenergy (Kagu 006 12 MW hydro/solaire) et Global Synergy Solutions (30 MW de déchets).
Le cadre réglementaire en vigueur est relativement favorable aux IPP. La participation du secteur privé à la production d'électricité est encouragée et des procédures relatives à l'interconnexion avec les réseaux de distribution et de transport, à l'achat de PPP, à l'autorisation d'études de faisabilité et à l'octroi de permis de construction sont prévues. Pourtant, les projets sont souvent considérablement retardés, comme le montre le cas de Mubuga.
Règlements
La loi n° 13 du 23 avril 2015 sur la réorganisation du secteur de l'électricité au Burundi est considérée comme un jalon pour une participation accrue du secteur privé. Elle met fin au monopole de REGIDESO dans la production d'électricité. La loi permet la production privée d'électricité, sous certaines conditions. Les systèmes de production de plus de 500 kW doivent être autorisés, tandis que les systèmes de production de moins de 500 kW doivent être déclarés. Les projets hydroélectriques de plus de 1 MW sont soumis à un régime de concession. Les contrats de PPP doivent être signés si les projets sont situés sur des terrains appartenant à l'État.
Le décret n° 100/130 du 23 juin 2016 relative à la réorganisation du transport, de la distribution et de la commercialisation de l'électricité précise la procédure d'autorisation pour la construction d'infrastructures de transport et de distribution et les dispositions relatives à la vente d'électricité par des producteurs indépendants fournissant leurs réseaux de transport et de distribution d'électricité, à la qualité de l'électricité et aux AAE.
Le décret n° 100/131 du 23 juin 2016 sur la production, l'importation et l'exportation d'électricité prévoit les conditions dans lesquelles le Ministère peut limiter ou interdire la production, l'importation et l'exportation d'électricité.
Le décret n° 100/132 du 23 juin 2016 sur la procédure d'aménagement d'une centrale de production à usage exclusif et commercial exige que le développement d'une centrale de production débute par des études de faisabilité autorisées par le ministère, suivies de l'obtention d'un permis de construction et d'exploitation. Le décret précise les procédures en cause.
La loi n° 14 du 27 avril 2015 sur le régime général des contrats de partenariat public-privé fixe les lignes directrices en matière de passation des marchés et de passation des marchés pour les contrats de PPP.
Le décret n° 100/31 du 24 février 2017 sur les procédures applicables à l'attribution des marchés de PPP précise les critères de préqualification, les processus d'évaluation des soumissions présélectionnées et les principes directeurs généraux relatifs aux marchés de PPP.

Mini-réseaux

Aperçu
Le Burundi ne dispose pas actuellement de nombreux mini-réseaux en service. Cela commence toutefois à changer. Fin 2019, une entreprise du nom de Songa Energy a réussi à lever des fonds pour un projet hybride solaire-hydro de 9 MW. Composé de deux centrales, ce projet fournira de l'électricité à la fois au réseau national et à un mini-réseau local de 20 000 foyers.

En 2015, la société ENERSOL, en partenariat avec Etrave, a installé le système solaire de l'hôpital Kinyinya de 20 kW, qui a été étendu pour fournir de l'électricité à un mini-réseau local. Un certain nombre d'acteurs internationaux du secteur privé, dont l'espagnol Trama TecnoAmbiental, ont manifesté leur intérêt pour le marché.

Dans le Plan national de développement 2018-2027, le gouvernement vise la construction de quatre mini-réseaux solaires, à Ndava/Ryansoro (25 kW), Gatereni/Gitanga (50 kW), Buheka (25 kW) et Kazirabageni/Nyanza-Lac (50 kW). Les efforts de planification de l'électrification les moins coûteux au Burundi indiquent que pour atteindre les objectifs de 2030, un tiers de la capacité de production d'énergie serait fourni de manière plus abordable par des mini-réseaux. Une analyse géospatiale récente a permis de déterminer 150 sites de mini-réseaux convenables, à des endroits qui ne devraient pas être électrifiés par le réseau à court et à moyen terme.
Règlements
La loi n° 13 du 23 avril 2015 sur la réorganisation du secteur de l'électricité au Burundi est considérée comme un jalon pour une participation accrue du secteur privé. Elle met fin au monopole de REGIDESO dans la production d'électricité. La loi permet la production privée d'électricité, sous certaines conditions. Les systèmes de production de plus de 500 kW doivent être autorisés, tandis que les systèmes de production de moins de 500 kW doivent être déclarés. Les projets hydroélectriques de plus de 1 MW sont soumis à un régime de concession. Les contrats de PPP doivent être signés si les projets sont situés sur des terrains appartenant à l'État. La vente d'électricité excédentaire au réseau est autorisée sous certaines conditions. La production, le transport et la distribution d'électricité de capacités jusqu'à 1 MW pour son propre usage sont soumis à un régime de déclaration, tandis que les activités mentionnées pour son propre usage sont soumises à un régime d'autorisation si la capacité dépasse 1 MW. L'État détient le monopole légal du réseau principal de transport et de distribution. Elle peut cependant déléguer la construction et l'exploitation de réseaux isolés à des entités non étatiques. Cette exigence est assujettie à la signature d'un contrat de délégation de service public.
Le décret n° 100/130 du 23 juin 2016 relatif à la réorganisation du transport, de la distribution et de la commercialisation de l'électricité précise la procédure d'autorisation pour la construction d'infrastructures de transport et de distribution et les dispositions relatives à la vente d'électricité par des producteurs indépendants fournissant leurs réseaux de transport et de distribution d'électricité, à la qualité de l'électricité et aux AAE.
Le décret n° 100/131 du 23 juin 2016 sur la production, l'importation et l'exportation d'électricité prévoit les conditions dans lesquelles le Ministère peut limiter ou interdire la production, l'importation et l'exportation d'électricité.
Le décret n° 100/132 du 23 juin 2016 sur la procédure d'aménagement d'une centrale de production à usage exclusif et commercial exige que le développement d'une centrale de production débute par des études de faisabilité autorisées par le ministère, suivies de l'obtention d'un permis de construction et d'exploitation. Le décret précise les procédures en cause.
La loi n° 14 du 27 avril 2015 sur le régime général des contrats de partenariat public-privé fixe les lignes directrices en matière de passation des marchés et de passation des marchés pour les contrats de PPP.
Le décret n° 100/31 du 24 février 2017 sur les procédures applicables à l'attribution des marchés de PPP précise les critères de préqualification, les processus d'évaluation des soumissions présélectionnées et les principes directeurs généraux relatifs aux marchés de PPP.

SHS\Pico Solar

Aperçu
Le marché de l'énergie solaire autonome au Burundi en est à ses débuts. Bizisol, Greenbox Solar, ITCO, Little Sun, Nambiar, Solar Links et Virago sont parmi les acteurs clés impliqués dans la distribution et la vente de produits solaires autonomes au Burundi. Pourtant, aucune vente liée à GOGLA et Lighting Global n'a été enregistrée en 2018 ou 2019. Depuis 2020, le gouvernement, en partenariat avec les institutions de développement, prévoit de distribuer des produits solaires autonomes à environ 65 000 ménages.

Ce marché, actuellement non réglementé, présente un potentiel inexploité considérable. La planification préliminaire de l'électrification à moindre coût indique qu'un tiers de la capacité en 2030 devrait provenir de solutions autonomes. Le marché des systèmes autonomes est estimé à deux millions de ménages.
Règlements
Le marché n'est pas réglementé. En général, la loi n° 13 du 23 avril 2015 sur la réorganisation du secteur de l'électricité au Burundi est considérée comme un jalon pour une participation accrue du secteur privé. Elle met fin au monopole de REGIDESO dans la production d'électricité. La loi autorise la production privée d'électricité, sous réserve d'un régime de partenariat public-privé et d'une autorisation du Ministère.

Énergie captive

Aperçu
Le marché captif de l'électricité au Burundi a connu peu d'activité à ce jour, par rapport aux pays voisins. En 2015, Enersol et Etrave ont installé 150 systèmes solaires hors réseau sur les toits de 40 centres de santé répartis dans huit provinces. Distributed Power Africa (DPA) est également active au Burundi. Propriété du groupe Econet, la société installe un système solaire sur toit de 104 kW au centre Econet Leo de Bujumbura. L'hôpital universitaire de Kamenge à Bujumbura exploite un réseau de 403 kW de panneaux solaires au sol. En termes de biomasse, Moso Sugar Company (SOSUMO) exploite une centrale de cogénération de 4 MW alimentée par bagasse pour son propre usage, avec des opérations saisonnières.
Il n'y a pas de réglementation axée sur le marché captif de l'énergie. La réglementation générale relative à la production d'électricité s'appliquerait donc à l'électricité captive.
Règlements
La loi n° 13 du 23 avril 2015 sur la réorganisation du secteur de l'électricité au Burundi est considérée comme un jalon pour une participation accrue du secteur privé. Elle met fin au monopole de REGIDESO dans la production d'électricité. La loi permet la production privée d'électricité, sous certaines conditions. Les systèmes de production de plus de 500 kW doivent être autorisés, tandis que les systèmes de production de moins de 500 kW doivent être déclarés. Les projets hydroélectriques de plus de 1 MW sont soumis à un régime de concession. Les contrats de PPP doivent être signés si les projets sont situés sur des terrains appartenant à l'État. La vente d'électricité excédentaire au réseau est autorisée sous certaines conditions. La production, le transport et la distribution d'électricité de capacités jusqu'à 1 MW pour son propre usage sont soumis à un régime de déclaration, tandis que les activités mentionnées pour son propre usage sont soumises à un régime d'autorisation si la capacité dépasse 1 MW.
Le décret n° 100/131 du 23 juin 2016 sur la production, l'importation et l'exportation d'électricité prévoit les conditions dans lesquelles le Ministère peut limiter ou interdire la production, l'importation et l'exportation d'électricité.
Le décret n° 100/132 du 23 juin 2016 sur la procédure d'aménagement d'une centrale de production à usage exclusif et commercial exige que le développement d'une centrale de production débute par des études de faisabilité autorisées par le ministère, suivies de l'obtention d'un permis de construction et d'exploitation. Le décret précise les procédures en cause.
La loi n° 14 du 27 avril 2015 sur le régime général des contrats de partenariat public-privé fixe les lignes directrices en matière de passation des marchés et de passation des marchés pour les contrats de PPP.
Le décret n° 100/31 du 24 février 2017 sur les procédures applicables à l'attribution des marchés de PPP précise les critères de préqualification, les processus d'évaluation des soumissions présélectionnées et les principes directeurs généraux relatifs aux marchés de PPP.

Cuisine propre

Aperçu
Plus de 95 % de la population burundaise dépend de la combustion de la biomasse ou de combustibles solides dans des feux à ciel ouvert ou dans des cuisinières inefficaces pour la cuisine. Le bois est utilisé par 94,2 % de la population. Les autres combustibles comprennent le charbon de bois (5,1 %), le charbon (0,2 %) et le gaz de pétrole liquide (GPL) (0,2 %). Le secteur de la cuisine propre au Burundi se limite à quelques programmes de distribution et à un petit nombre de ventes commerciales. Energizing Development (EnDev) distribue des poêles à bois améliorés par l'intermédiaire de tiers et Vulcanex International vend le poêle Vulcanex, un poêle à bois amélioré sans fumée. Les autres acteurs du marché sont Alfaco Bioenergy, Burundi Quality Stoves et KTF Solutions.

Le gouvernement dirige également des programmes de cuisine propre. Le Programme national des cantines scolaires offre des déjeuners gratuits à 800 écoles à travers le pays. Environ 400 de ces écoles exploitent des cuisinières propres et améliorées pour servir des repas à environ 500 à 800 enfants par jour. En 2020, le gouvernement, en partenariat avec les institutions de développement, a également prévu de distribuer des poêles de cuisine propres à environ 300 000 foyers et 400 écoles d'ici 2026.
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